Prolétaires et fiers de l’être

Les quartiers populaires sont habités par les classes populaires (ouvriers, employés, chômeurs, précaires). Les immigrations pour leur part sont majoritairement ouvrières et le destin social de leurs enfants est malheureusement majoritairement le précariat. Abdelmalek Sayad soulignait justement que « Immigré » et « travailleur » étaient des quasi-synonymes. Le FUIQP se sent en conséquence concerné par toutes les luttes contre l’oppression de classes. Il y défend les intérêts et les revendications des parties les plus exploitées du monde du travail. Si nous sommes pour l’unité des travailleurs, nous savons aussi que celle-ci n’est possible qu’en prenant en compte les revendications des plus exploités.